Les États-Unis retireront 2200 soldats d’Irak d’ici la fin septembre, ce qui ramènera le nombre de soldats dans le pays à 3000, a confirmé le général Frank McKenzie, commandant du Commandement central américain.

Vue d’ensemble: cette décision est conforme à la promesse électorale du président Trump de réduire l’implication de l’Amérique au Moyen-Orient. Le président a réduit la présence des troupes américaines en Irak, en Afghanistan et en Syrie.

  • Au plus fort de la guerre en Irak, il y avait plus de 150 000 militaires en poste en Irak, selon le New York Times.
  • Le nombre de soldats en Irak après le retrait sera à peu près au même niveau qu’en 2015, lorsque les États-Unis en étaient aux premiers stades de leur campagne contre l’État islamique.

Conduire l’actualité: L’annonce intervient quelques jours après que Trump a accusé les dirigeants du Pentagone de mener la guerre afin de garder les entrepreneurs de la défense «heureux», alors qu’il niait les informations selon lesquelles il aurait insulté des militaires décédés.

Ce qu’ils disent: «Cette empreinte réduite nous permet de continuer à conseiller et à aider nos partenaires irakiens à extirper les derniers vestiges de l’État islamique en Irak et à assurer sa défaite durable», a déclaré le général McKenzie.

  • «Cette décision est due à notre confiance dans la capacité accrue des forces de sécurité irakiennes d’opérer de manière indépendante.»